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Description
Off to Oblitus-Club I gooo :V

FRANCOEUR HONORÉ ENJOLRAS

❝Je forme une entreprise qui n'eut jamais d'exemple, et dont l'exécution n'aura point d'imitateur. Je veux montrer à mes semblables un homme dans toute la vérité de la nature; et cet homme, ce sera moi.❞

► Nom de baptême: Fancoeur Honoré
► Patronyme: Enjolras
► Age & Date de baptême: 32 ans, baptisé le 21 Octobre ??1838??
► Sexe: Masculin
► Orientation: Restreint par l'époque; bisexuel mal assumé
► Taille & Poids: 1m75 pour 63kg

  ► Logement:
Windmill Dr, London SW4 9DE.
Un ❝manoir❞ éloigné du centre-ville; ou plutôt une large habitation avec jardin. Une maison familiale dont il a hérité après le massacre de la partie de sa famille qui y habitait. Il y vit seul avec pour seule compagnie des domestiques qu'il ne croise jamais. Ils savent ce qu'ils ont à faire, quand et comment, pas besoin de plus. La maison est bordée d'une forêt sauvage; probablement un morceau du territoire hérité, mais Enjolras ne s'en préoccupe pas.

  ► Étude Corporelle:
Assez grand pour son époque, sans être le plus gigantesque; ses genoux lui portent préjudice, de ce fait il a du mal à courir et il lui arrive d'avoir besoin d'une canne pour marcher (surtout en temps de pluie). Il porte une douzaine de bagues, un large chapelet, une montre à gousset et d'autres breloques qu'il change de temps à autre. Il néglige parfois sa pilosité faciale, mais étant presque imberbe, il arbore une "barbe" à peine plus fournie au niveau du menton et oreilles. Son oeil droit possède une hétérochromie. En parlant d'yeux, il a très souvent des cernes.

  ► Idiosyncrasie:
Tout d'abord, jamais nous ne l'appellerez Francoeur. Déjà parce qu'il trouve ça assez impoli, et que son prénom fait beaucoup trop français pour quelqu'un qui vit en Angleterre. Sans pour autant renier ses racines; il aimerait juste mieux se faire oublier, ici. Ayant besoin de renouveau sans arrêt, il s'ennuie en permanence, tourne en rond quand il est chez lui et fait les cent pas dans les rues lorsqu'il est en ville - ce qui, par ailleurs, est chose de plus en plus commune de sa part. A force de rester enfermé chez lui ou à gambader dans la forêt, l'être-humain a commencé à lui sembler... Trop peu intéressant, presque même répugnant. Enfin, il s'en guérit comme il peut. Grande mélomane, lyrique de nature, amoureux de la littérature et des langues, il aurait pu être linguiste s'il n'avait pas choisi l'illustration. Il a passé sa précédente vie le nez enfoui dans les ouvrages de l'immense bibliothèque de ses parents. Un véritable poète dans l'âme, il compose également, fait la cour avec de jolies phrase dignes de Musset. Il parle avec un accent français assez prononcé, par ailleurs, mais est totalement bilingue et peut adopter l'accent britannique comme bon lui semble; à cheval sur la politesse de surcroît, ça lui arrive de se laisser aller et s'adonner aux rares plaisirs auxquels les mortels ont droit ici bas. L'Oblitus le décoince légèrement, ou plutôt, il l'empêche de se renfrogner plus qu'il ne l'est déjà. Assez ronchon sur les bords, peu sympathique même, il séduit avec la conversation ou pas du tout; c'est quitte ou double avec lui. Pourtant, c'est un grand romantique dans l'âme, un passionné par dessus tout, probablement une espèce d'amoureux des arts et du Beau.

  ► Résumé Biographique:
Au sujet de son histoire, il n'y a pas grand-chose à dire. Élevé dans une idéologie chrétienne à laquelle il n'a - malgré lui - jamais adhéré. Sa famille était divisée en deux: la majeure partie vivait en France, l'autre était partie faire du commerce en Angleterre. Il a grandit avec ses cousins, principalement, puis a eut une petite sœur vers ses 12 ans. Il est allé à l'école, comme tout bon enfant bourgeois qui se respecte, a connu la mort d'Honoré de Balzac,a lu, lu, lu, et lu toute son enfance ainsi que son adolescence. Ayant un petit don pour les arts, sa charmante mère l'encourageait énormément dans cette voix-ci, ce qui n'était pas pour plaire au patriarche, bien que trop occupé de ses propres affaires pour se soucier réellement de la survie financière de son seul héritier. Hm.
Un meurtre de masse en Angleterre: la partie de sa famille y est massacrée. Une dizaine de personnes, en comptant les domestiques, apparemment l'oeuvre "d'un loup" - Enjolras a toujours trouvé la logique de cette histoire monstrueusement... Nulle. Un loup, tuer à lui tout seul une dizaine de personnes potentiellement capable de s'armer en une fraction de seconde. Oui oui. Bref; trop peu intéressé par cette histoire, il y est pourtant mêlé quand la maison et tout les biens lui reviennent de droit pour une histoire de testament, de premier né, il a jamais rien compris, mais depuis il a une maison en Angleterre, non-loin de Londres. Bon. Capable de parler fort bien la langue, il décide à l'aube de ses 25 ans d'y déménager, comme son métier d'illustrateur fonctionnait bien en France. Depuis, il y est posé. Très vite il s'entoure d'une communauté d'artistes en tout genre et fini par sombrer gentiment dans ce que l'on appelle "la négligence". Ses fréquentations n'aident en rien à l'amélioration de son état; un matin, une domestique lui apporte un carton d'invitation. Il aurait été comme ceux que ses amis lui envoient, il l'aurait probablement envoyer aux ordures. Mais cette fois, c'était une enveloppe cellée d'un sceau en cire noire, joliment décoré. L'Oblitus-Club ? Intrigué, plus à l'idée d'écrire ou d'illustrer au sujet de cette étrange organisation, il commence à faire ses recherches, répond à l'invitation. Hélas, de fil en aiguille, il devient prisonnier des rouages de l'organisation et fini par tomber dedans sans réellement s'en rendre compte. Comme un piège à souris, une spirale; il suit la trace, l'odeur, et le gouffre se refermer sur lui.

► Oblitus-Club:
Il est malencontreusement tombé dans les rouages de la société. A force de s'y intéresser de trop prêt - à des fins purement artistique - il a vendu son âme au diable. Sa curiosité l'aura poussé trop profondément dans les entrailles de la bête pour qu'il puisse désormais en réchapper... Et ça lui va étrangement bien comme ça.

► Goûts:
Il aime beaucoup les arts en général, même si la littérature et le dessin ont une place monstrueuse dans son cœur. La nourriture crue, aussi. Sauf la viande. Il aime son métier, la nature, composer, écrire, lire, chanter, peindre, dessiner et même danser. La romance, aussi; il adore entretenir des relations purement romantiques et platoniques avec les personnes qu'il côtoie plus souvent que les autres. Il déteste, en revanche, qu'on lui touche les cheveux, trop de contact humain et le moindre commentaire négatif sur ce qu'il dessine peut valoir un regard plus noir que les abysses elles-mêmes.

J'rp par skype, de préférence, même si je suis ouvert à tout le reste aussi.
Paragraphes semi-détaillés; je peux tout RP du moment que le contexte s'y prête.

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FRANCOEUR HONORÉ ENJOLRAS

❝Je forme une entreprise qui n'eut jamais d'exemple, et dont l'exécution n'aura point d'imitateur. Je veux montrer à mes semblables un homme dans toute la vérité de la nature; et cet homme, ce sera moi.❞

► Nom de baptême: Fancoeur Honoré
► Patronyme: Enjolras
► Age & Date de baptême: 32 ans, baptisé le 21 Octobre ??1838??
► Sexe: Masculin
► Orientation: Restreint par l'époque; bisexuel mal assumé
► Taille & Poids: 1m75 pour 63kg

  ► Logement:
Windmill Dr, London SW4 9DE.
Un ❝manoir❞ éloigné du centre-ville; ou plutôt une large habitation avec jardin. Une maison familiale dont il a hérité après le massacre de la partie de sa famille qui y habitait. Il y vit seul avec pour seule compagnie des domestiques qu'il ne croise jamais. Ils savent ce qu'ils ont à faire, quand et comment, pas besoin de plus. La maison est bordée d'une forêt sauvage; probablement un morceau du territoire hérité, mais Enjolras ne s'en préoccupe pas.

  ► Étude Corporelle:
Assez grand pour son époque, sans être le plus gigantesque; ses genoux lui portent préjudice, de ce fait il a du mal à courir et il lui arrive d'avoir besoin d'une canne pour marcher (surtout en temps de pluie). Il porte une douzaine de bagues, un large chapelet, une montre à gousset et d'autres breloques qu'il change de temps à autre. Il néglige parfois sa pilosité faciale, mais étant presque imberbe, il arbore une "barbe" à peine plus fournie au niveau du menton et oreilles. Son oeil droit possède une hétérochromie. En parlant d'yeux, il a très souvent des cernes.

  ► Idiosyncrasie:
Tout d'abord, jamais nous ne l'appellerez Francoeur. Déjà parce qu'il trouve ça assez impoli, et que son prénom fait beaucoup trop français pour quelqu'un qui vit en Angleterre. Sans pour autant renier ses racines; il aimerait juste mieux se faire oublier, ici. Ayant besoin de renouveau sans arrêt, il s'ennuie en permanence, tourne en rond quand il est chez lui et fait les cent pas dans les rues lorsqu'il est en ville - ce qui, par ailleurs, est chose de plus en plus commune de sa part. A force de rester enfermé chez lui ou à gambader dans la forêt, l'être-humain a commencé à lui sembler... Trop peu intéressant, presque même répugnant. Enfin, il s'en guérit comme il peut. Grande mélomane, lyrique de nature, amoureux de la littérature et des langues, il aurait pu être linguiste s'il n'avait pas choisi l'illustration. Il a passé sa précédente vie le nez enfoui dans les ouvrages de l'immense bibliothèque de ses parents. Un véritable poète dans l'âme, il compose également, fait la cour avec de jolies phrase dignes de Musset. Il parle avec un accent français assez prononcé, par ailleurs, mais est totalement bilingue et peut adopter l'accent britannique comme bon lui semble; à cheval sur la politesse de surcroît, ça lui arrive de se laisser aller et s'adonner aux rares plaisirs auxquels les mortels ont droit ici bas. L'Oblitus le décoince légèrement, ou plutôt, il l'empêche de se renfrogner plus qu'il ne l'est déjà. Assez ronchon sur les bords, peu sympathique même, il séduit avec la conversation ou pas du tout; c'est quitte ou double avec lui. Pourtant, c'est un grand romantique dans l'âme, un passionné par dessus tout, probablement une espèce d'amoureux des arts et du Beau.

  ► Résumé Biographique:
Au sujet de son histoire, il n'y a pas grand-chose à dire. Élevé dans une idéologie chrétienne à laquelle il n'a - malgré lui - jamais adhéré. Sa famille était divisée en deux: la majeure partie vivait en France, l'autre était partie faire du commerce en Angleterre. Il a grandit avec ses cousins, principalement, puis a eut une petite sœur vers ses 12 ans. Il est allé à l'école, comme tout bon enfant bourgeois qui se respecte, a connu la mort d'Honoré de Balzac,a lu, lu, lu, et lu toute son enfance ainsi que son adolescence. Ayant un petit don pour les arts, sa charmante mère l'encourageait énormément dans cette voix-ci, ce qui n'était pas pour plaire au patriarche, bien que trop occupé de ses propres affaires pour se soucier réellement de la survie financière de son seul héritier. Hm.
Un meurtre de masse en Angleterre: la partie de sa famille y est massacrée. Une dizaine de personnes, en comptant les domestiques, apparemment l'oeuvre "d'un loup" - Enjolras a toujours trouvé la logique de cette histoire monstrueusement... Nulle. Un loup, tuer à lui tout seul une dizaine de personnes potentiellement capable de s'armer en une fraction de seconde. Oui oui. Bref; trop peu intéressé par cette histoire, il y est pourtant mêlé quand la maison et tout les biens lui reviennent de droit pour une histoire de testament, de premier né, il a jamais rien compris, mais depuis il a une maison en Angleterre, non-loin de Londres. Bon. Capable de parler fort bien la langue, il décide à l'aube de ses 25 ans d'y déménager, comme son métier d'illustrateur fonctionnait bien en France. Depuis, il y est posé. Très vite il s'entoure d'une communauté d'artistes en tout genre et fini par sombrer gentiment dans ce que l'on appelle "la négligence". Ses fréquentations n'aident en rien à l'amélioration de son état; un matin, une domestique lui apporte un carton d'invitation. Il aurait été comme ceux que ses amis lui envoient, il l'aurait probablement envoyer aux ordures. Mais cette fois, c'était une enveloppe cellée d'un sceau en cire noire, joliment décoré. L'Oblitus-Club ? Intrigué, plus à l'idée d'écrire ou d'illustrer au sujet de cette étrange organisation, il commence à faire ses recherches, répond à l'invitation. Hélas, de fil en aiguille, il devient prisonnier des rouages de l'organisation et fini par tomber dedans sans réellement s'en rendre compte. Comme un piège à souris, une spirale; il suit la trace, l'odeur, et le gouffre se refermer sur lui.

► Oblitus-Club:
Il est malencontreusement tombé dans les rouages de la société. A force de s'y intéresser de trop prêt - à des fins purement artistique - il a vendu son âme au diable. Sa curiosité l'aura poussé trop profondément dans les entrailles de la bête pour qu'il puisse désormais en réchapper... Et ça lui va étrangement bien comme ça.

► Goûts:
Il aime beaucoup les arts en général, même si la littérature et le dessin ont une place monstrueuse dans son cœur. La nourriture crue, aussi. Sauf la viande. Il aime son métier, la nature, composer, écrire, lire, chanter, peindre, dessiner et même danser. La romance, aussi; il adore entretenir des relations purement romantiques et platoniques avec les personnes qu'il côtoie plus souvent que les autres. Il déteste, en revanche, qu'on lui touche les cheveux, trop de contact humain et le moindre commentaire négatif sur ce qu'il dessine peut valoir un regard plus noir que les abysses elles-mêmes.

J'rp par skype, de préférence, même si je suis ouvert à tout le reste aussi.
Paragraphes semi-détaillés; je peux tout RP du moment que le contexte s'y prête.