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Description

Prénom – particule - Nom :

Marshall de Villers

Nationalité :

Belge

Son âge:

25 ans

Né le 17 juin 1936

Taille:

179,8 cm

Poids:

79 Kg

Sexe:

Masculin

Crime commis :

Assassinat non prémédité, se clamant innocent jusqu'à la fin de la sentence.

Masque :

En métal argenté, c'est une fusion entre le loup de bal et un casque de chevalier. Des graphismes sont gravés et peints sur la zone principale. Sur cette dernière zone se trouve quelques griffures et une petite fissure sur le haut.

Capacités:

Coup, choc ou coupures sont totalement annulés sur la zone restreinte de l'infection.
fav.me/d8zhikd

Faible régénération.

Caractère :

Sarcastique, moqueur, plaisantin, joueur, affectueux, magnanime, intriguant, curieux, raffiné, loyal.

De famille noble, il en a eu l'éducation. Attentif aux autres, il n'hésitera pas à donner un coup de main, moral comme physique, surtout s’il peut avoir un retour. Il sait ce qu'il vaut et a pleinement conscience de son physique avantageux, ne manquant pas d'en profiter. Pourtant, il n'a jamais eu qu'une seule conquête. Officiellement comme officieusement.

Positif et souriant, il adore participer aux fêtes de village, concerts, au carnaval de Dolhain ... Il fût même intronisé Prince du carnaval de Dolhain de 1959. Il peut assurément tenir l'alcool depuis. Son rang de fils de Comte ne l'a jamais empêché de vivre librement dans sa région, ayant dès son plus jeune âge participé aux mouvements de scoutismes, finissant même en qualité d'animateur jusqu'à ses 19 ans, où il partit faire son service militaire trois ans, renforçant son physique comme ses nerfs malgré ses difficultés relationnelles avec son père.

Il a le gros défaut de ne pas savoir correctement résister aux défis. Du moment que ces derniers respectent un minimum ses moeurs, convictions et ne sont pas trop dangereux, il ne peut faire que de son mieux pour réussir le défi imposé. C'est comme un jeu pour lui, et le ridicule ne risque pas de le refroidir. Cette faiblesse vient des années 1939 à 1945 où, pour se nourrir correctement, les enfants tournaient en jeux des situations pourtant stressantes. Tel que « récolter le plus de pommes dans le verger en évitant les balles ».

Depuis tout jeune, les chevaliers le fascinent. Dès ses douze ans, il apprend le maniement des épées, s'étant spécialisé auprès des épées courtes, bâtardes et d'estoc. Il affectionne aussi le combat à mains nues qu'il a étudié au possible, ce qui le faisait souvent participer aux bagarres de rue.

Malgré tous ces côtés plus « Paysan », il est un excellent danseur et maîtrise fort bien l'étiquette de la noblesse. Envoûté par la musique contemporaine et classique, il maîtrise très bien la guitare, la guitare basse et le violon, et a quelques bases de piano. Préférant sentir l'instrument vibrer dans ses mains sous l'effet d'une pression et un frottement de cordes, il n'affectionne pas jouer des cuivres ou percussions.

Au premier abord il peut paraître hautain et froid. Mais une fois mis en confiance, il peut se révéler affectueux, collant. Loin d'être susceptible, il peut être difficile de l'envoyer balader comme il se doit. Mais dû à un manque d'affection évident, il peut dévoiler des réactions inattendues, et qui sait, dangereuses.

Son histoire:

Le 17 juin 1937 au château de Villers de la ville fortifiée de Limbourg, Marshall voit le jour. Etant le premier né et fils, son père n'attend pas que son fils aie profité de son enfance pour le former à hériter de son titre, et de son industrie.

La famille de Villers est propriétaire de plusieurs bâtiments industriels près de la Vesdre et possède une société d’industrie textile de tissus nobles depuis 1878. La construction du barrage de la Gileppe ne fit qu'enrichir la famille. Pourtant, depuis 1929, le père, Louis de Villers, n'est pas satisfait des rendements de son industrie. Il se lance alors dans la vente d'informations. Il reçoit des demandes : Mercenariat, assassinat, transport au noir ... Il les envoie aux personnes compétentes : Mercenaires, assassins, commerçants ... C'est ainsi qu'il devient une plaque tournante de ce genre de « commerce », récupérant un certain pourcentage à chaque transaction. Cette nouvelle société fleurit, au grand dam de certains, sous le nom du « Lion Rouge ».

Marshall n'est mis au courant qu'à l'âge de ses 17 ans. Certes, son père lui avait déjà fait subir des entraînements physiques pour savoir correctement se défendre et attaquer, lui faire apprendre tout ce qu'il faut sur le commerce, et fait découvrir les subtilités des soirées mondaines des nobles. Pour oublier ces obligations trop lourdes pour lui, il augmente ses sorties et ses divertissements. Il tombe même amoureux d'une fille deux ans plus jeune que lui, simple bourgeoise du bas de Limbourg. Mais lorsque son paternel découvrit le tout, ce dernier ne manqua pas de marquer à vif dans sa chair qui était le maître en ces lieux et l'envoya dans les plus brefs délais à l'armée.

À son retour, il semblait être remis dans le droit chemin. Pourtant, il reprit ses sorties dans le village en douce. C'est alors qu'un soir, après quelques verres dans le nez, il quitte la salle de fête en tentant désespérément de se décoller d'une jeune fille complètement ivre. Une amie à elle la récupère. Libre. Pas plus tard que le lendemain, il retourne à Dolhain. Et la même jeune fille ne tarde pas de lui retomber dessus. De plus, il ne se souvient pas d'elle. Certainement d'une des nouvelles familles du village. Elle se fait trop collante. La soirée va être plus courte que prévue. Il sort, prenant le chemin longeant l'église de Dolhain pour monter sur Limbourg. Elle le suit. Il se tourne pour lui demander de cesser de le suivre. C'est alors qu'elle lui tombe quasi dessus et que de derrière lui, un bras vient égorger la jeune fille, le sang de cette dernière giclant sur ses habits. Du sang. Il n'a jamais aimé cette vision. Un cri. Qui est-ce ? Pas elle. Elle, son corps est déjà écroulé au sol. S'accroupissant près du corps, une lame se découvre à droite de ce dernier, maculée de sang. C'était la lame qui lui a tranché la gorge. Des pas de course. Des hommes apparaissent derrière et descendent les escalier. Puis la sensation de la pierre dure et froide, il est plaqué sur cette dernière avec force.

**

La grille se ferme derrière lui. Son père a encore choisi pour lui : la prison. Ce dernier compte surveiller son fils à l'aide d'informateurs et infiltrés. Eviter de récupérer son seul héritier trop défiguré. Ils arrivent dans une pièce vide, où un prêtre vient recueillir quelques dernières volontés et supporter la famille. Sa mère et ses soeurs ne sont pas là, mais il a pu enlacer ces dernières une ultime fois. Le prêtre se tourne vers le paternel :

- « Je suis certain que Dieu lui pardonnera son geste Monseigneur. »

- « Dieu n'a rien à lui pardonner. Je sais mon fils innocent. Parce qu'il n'en aurait jamais été capable. »

Le ton est froid. Dur. Coupant. Quasi tout autant que la porte de métal qui se ferme derrière lui alors qu'il quitte la pièce sans daigner regarder son fils. Ce dernier n'obéit pas à l'injonction de continuer d’avancer des gardes. Il se débat. Hurle. Pourquoi lui. Le voilà assommé, c'est plus facile de le transporter ainsi.

**

Le sol est froid, n'apaisant pas les maux de tête dus à la dose d’anesthésiant, telle une mauvaise gueule de bois. Sauf qu'ici, il sait qu'il ne s'est pas amusé avec ses camarades durant la nuit. Seules les paroles de son père raisonnent dans sa tête, tel un mauvais écho.

Aime :

- Sa petite soeur ;

- La musique (jouer comme écouter) ;

- Les défis ;

- Se rentre utile/important ;

- Son Royaume ;

- La fidélité/loyauté ;

- S'amuser ;

- Le contact physique simple ;

- La bière du pays ;

- Le printemps ;

- Le rouge ;

- Le combat à mains nues et à lame ;

- Découvrir ;

- L'attention des autres ;

- Les balades équestres ;

- Le carnaval de sa région ;

- Les fraises des bois ;

- Le thé.

N’aime pas :

- Être comparé à son père ;

- Le sang ;

- Le mensonge ;

- La mauvaise foi ;

- Forcer physiquement quelqu'un au risque de blesser ou autre ;

- Être impuissant face à quelque chose ;

- Les instruments mal accordés ;

- Le rose criard ;

- Les mauvaises bières comparables à de l'eau ;

- Paraître faible/Faire mauvaise impression ;

- L'infidélité ;

- La douleur ;

- Les poivrons ;

- Le café.

Traits physiques particuliers:

- Ses yeux sont brun foncé tirant sur le rouge.

- Il a plusieurs cicatrices dans le dos, nettes et constantes. Seules 7 sont fort visibles.

- Une bague large et plate en acier inoxydable avec le centre gravé et peint en rouge. La bague est couverte d'accros sur les bords et griffée à l’intérieur.

- A un anneau à dent d'acier sur la base de son outil génital.

- Marque au fer rouge d'un « V » sur sa chute de reins recouvert d'un tatouage : Un « V » de calligraphie gothique avec un lion rouge coiffé d'une couronne et une flamme sur une des branches du « V ».

FICHE COMPLEMENTAIRE : sta.sh/01c9loalss8t

Relations :

Toutes les informations citées ci dessus ne sont pas connues de personne ne l'ayant jamais connu ou cherché à le connaitre.

Par contre, sa famille ayant un pied dans le « noir », il est tout à fait possible d'avoir déjà entendu parler du « Lion Rouge », mais sans plus.

Pour ceux du même pays ayant travaillé dans les mêmes affaires, c'est votre choix : ou votre personnage connait cette « société » uniquement de nom, ou il/elle a déjà travaillé avec cette « Société ». Si il/elle a déjà travaillé pour ou a des informations plus approfondies, les voici :

Le « Lion Rouge » existe depuis 1929. Son créateur et propriétaire se fait appeler Leo. C'est un homme froid mais digne de confiance. La parole est quelque chose de très important chez le « Lion Rouge ». Si on ne tient pas ladite parole, la mort peut vous attendre au tournant et ne rate jamais sa cible.

Cette jeune « entreprise » est efficace et extrêmement discrète. Pourtant, son nom fut quelque peu « tâché » par l'image du fils. Tout le monde le voyait comme un couard, inutile et uniquement beau parleur. Jusqu'à ce qu'un jour, deux hommes de main d'une autre société vinrent s'en prendre à lui, pour d'une certaine façon s'attaquer à la société du père. Quelques baffes pour faire passer un message au père en marquant le fils.

Depuis, l'image du fils couard a disparu. Au contraire. Il était vivement conseillé de ne pas se mettre en travers de son chemin au risque d'être défiguré.

____________________

Musiques :

Nightcore - Marionette (Male Version) - www.youtube.com/watch?v=rGOwgH…

Nickelback – Animals - www.youtube.com/watch?v=6GBw28…

Seiyuu :

www.youtube.com/watch?v=e1oVU5…

Voix de Pierre Tessier fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_T…

Manière de rp:

- Skype : me contacter par note pour l'échange d'information ;

- Chatbox ;

- Note DA.

ATTENTION

Il se peut que lors de RP, mon personnage lâche quelques termes ou se mette à parler quelque peu le patois de sa région. Ce n'est pas du langage « sms » et je fais de mon mieux pour être juste dans l'orthographe des termes. Mais ces derniers sont avant tout phonétiques. Donc, pour tenter de le comprendre, concentrez vous sur la phonétique.

/!\ /!\ /!\

Bien que basé sur un fond historique et des lieux réels, Marshall est totalement fictif. Toute ressemblance avec une personne ayant existé est totalement fortuite.

/!\ /!\ /!\

______________________________________________________________

Ho-mon-Dieu-Ho-mon-Dieu-Ho-mon-Dieu !
C'est la toute toute première fois que je fais une telle fiche pour ainsi rejoindre un groupe de RP sur DeviantArt. J'ai encore jamais jamais fait ça. Alors le stress, il est là.

Après plus de vingt heures d'boulot, j'ai arrêté de compter. J'ai même pas fini : la fiche complémentaire est incomplète. J'ai perdu une tonne de temps à reprendre en main Photoshop et la mise en volume. Et à faire trop de détails aussi. De plus, ce que vous voyez ici n'est que la partie émergée de l'iceberg. J'ai sur mon bureau tout un dossier remplit par mes soins sur une tonne de références des années 1950 à 1960 sur la musique, arts, et autre. Et j'ai pas fini. *zbarf*

J'espère que la fiche et le personnage vous plaira, parce que moi, ça m'plait. Le prochain perso' sera physiquement détruit. J'aime pas être trop idéaliste. Mais avec ce personnage, je pouvais pas le "détruire". Pour le début du moins ! Parce que oui, c'est le même Marshall. Plus ou moins. Moi je l'appel le Marshall numéro 3.

Ha ! Je stress je stress ! Mais je suis à l'heure !

Fini le 17 janvier 2015.
Outil : Photoshop CS6.
_____

Hell yeah ! I've finished it ! I made it ! *A* Sooo stressed to post it ...!

So it's the character sheet of Marshall de Villers. Yeah, it's the same Marshall. Just in a new univers. The physique is the same, just the bandages not there !
Sorry that I don't translate every thing but ... It's juste too much. Google is your friend ! *ZBARF*

Hope you'll like it too ! ~

Finished the 17 january 2015.
Tool : Photoshop CS6.

Description

Prénom – particule - Nom :

Marshall de Villers

Nationalité :

Belge

Son âge:

25 ans

Né le 17 juin 1936

Taille:

179,8 cm

Poids:

79 Kg

Sexe:

Masculin

Crime commis :

Assassinat non prémédité, se clamant innocent jusqu'à la fin de la sentence.

Masque :

En métal argenté, c'est une fusion entre le loup de bal et un casque de chevalier. Des graphismes sont gravés et peints sur la zone principale. Sur cette dernière zone se trouve quelques griffures et une petite fissure sur le haut.

Capacités:

Coup, choc ou coupures sont totalement annulés sur la zone restreinte de l'infection.
fav.me/d8zhikd

Faible régénération.

Caractère :

Sarcastique, moqueur, plaisantin, joueur, affectueux, magnanime, intriguant, curieux, raffiné, loyal.

De famille noble, il en a eu l'éducation. Attentif aux autres, il n'hésitera pas à donner un coup de main, moral comme physique, surtout s’il peut avoir un retour. Il sait ce qu'il vaut et a pleinement conscience de son physique avantageux, ne manquant pas d'en profiter. Pourtant, il n'a jamais eu qu'une seule conquête. Officiellement comme officieusement.

Positif et souriant, il adore participer aux fêtes de village, concerts, au carnaval de Dolhain ... Il fût même intronisé Prince du carnaval de Dolhain de 1959. Il peut assurément tenir l'alcool depuis. Son rang de fils de Comte ne l'a jamais empêché de vivre librement dans sa région, ayant dès son plus jeune âge participé aux mouvements de scoutismes, finissant même en qualité d'animateur jusqu'à ses 19 ans, où il partit faire son service militaire trois ans, renforçant son physique comme ses nerfs malgré ses difficultés relationnelles avec son père.

Il a le gros défaut de ne pas savoir correctement résister aux défis. Du moment que ces derniers respectent un minimum ses moeurs, convictions et ne sont pas trop dangereux, il ne peut faire que de son mieux pour réussir le défi imposé. C'est comme un jeu pour lui, et le ridicule ne risque pas de le refroidir. Cette faiblesse vient des années 1939 à 1945 où, pour se nourrir correctement, les enfants tournaient en jeux des situations pourtant stressantes. Tel que « récolter le plus de pommes dans le verger en évitant les balles ».

Depuis tout jeune, les chevaliers le fascinent. Dès ses douze ans, il apprend le maniement des épées, s'étant spécialisé auprès des épées courtes, bâtardes et d'estoc. Il affectionne aussi le combat à mains nues qu'il a étudié au possible, ce qui le faisait souvent participer aux bagarres de rue.

Malgré tous ces côtés plus « Paysan », il est un excellent danseur et maîtrise fort bien l'étiquette de la noblesse. Envoûté par la musique contemporaine et classique, il maîtrise très bien la guitare, la guitare basse et le violon, et a quelques bases de piano. Préférant sentir l'instrument vibrer dans ses mains sous l'effet d'une pression et un frottement de cordes, il n'affectionne pas jouer des cuivres ou percussions.

Au premier abord il peut paraître hautain et froid. Mais une fois mis en confiance, il peut se révéler affectueux, collant. Loin d'être susceptible, il peut être difficile de l'envoyer balader comme il se doit. Mais dû à un manque d'affection évident, il peut dévoiler des réactions inattendues, et qui sait, dangereuses.

Son histoire:

Le 17 juin 1937 au château de Villers de la ville fortifiée de Limbourg, Marshall voit le jour. Etant le premier né et fils, son père n'attend pas que son fils aie profité de son enfance pour le former à hériter de son titre, et de son industrie.

La famille de Villers est propriétaire de plusieurs bâtiments industriels près de la Vesdre et possède une société d’industrie textile de tissus nobles depuis 1878. La construction du barrage de la Gileppe ne fit qu'enrichir la famille. Pourtant, depuis 1929, le père, Louis de Villers, n'est pas satisfait des rendements de son industrie. Il se lance alors dans la vente d'informations. Il reçoit des demandes : Mercenariat, assassinat, transport au noir ... Il les envoie aux personnes compétentes : Mercenaires, assassins, commerçants ... C'est ainsi qu'il devient une plaque tournante de ce genre de « commerce », récupérant un certain pourcentage à chaque transaction. Cette nouvelle société fleurit, au grand dam de certains, sous le nom du « Lion Rouge ».

Marshall n'est mis au courant qu'à l'âge de ses 17 ans. Certes, son père lui avait déjà fait subir des entraînements physiques pour savoir correctement se défendre et attaquer, lui faire apprendre tout ce qu'il faut sur le commerce, et fait découvrir les subtilités des soirées mondaines des nobles. Pour oublier ces obligations trop lourdes pour lui, il augmente ses sorties et ses divertissements. Il tombe même amoureux d'une fille deux ans plus jeune que lui, simple bourgeoise du bas de Limbourg. Mais lorsque son paternel découvrit le tout, ce dernier ne manqua pas de marquer à vif dans sa chair qui était le maître en ces lieux et l'envoya dans les plus brefs délais à l'armée.

À son retour, il semblait être remis dans le droit chemin. Pourtant, il reprit ses sorties dans le village en douce. C'est alors qu'un soir, après quelques verres dans le nez, il quitte la salle de fête en tentant désespérément de se décoller d'une jeune fille complètement ivre. Une amie à elle la récupère. Libre. Pas plus tard que le lendemain, il retourne à Dolhain. Et la même jeune fille ne tarde pas de lui retomber dessus. De plus, il ne se souvient pas d'elle. Certainement d'une des nouvelles familles du village. Elle se fait trop collante. La soirée va être plus courte que prévue. Il sort, prenant le chemin longeant l'église de Dolhain pour monter sur Limbourg. Elle le suit. Il se tourne pour lui demander de cesser de le suivre. C'est alors qu'elle lui tombe quasi dessus et que de derrière lui, un bras vient égorger la jeune fille, le sang de cette dernière giclant sur ses habits. Du sang. Il n'a jamais aimé cette vision. Un cri. Qui est-ce ? Pas elle. Elle, son corps est déjà écroulé au sol. S'accroupissant près du corps, une lame se découvre à droite de ce dernier, maculée de sang. C'était la lame qui lui a tranché la gorge. Des pas de course. Des hommes apparaissent derrière et descendent les escalier. Puis la sensation de la pierre dure et froide, il est plaqué sur cette dernière avec force.

**

La grille se ferme derrière lui. Son père a encore choisi pour lui : la prison. Ce dernier compte surveiller son fils à l'aide d'informateurs et infiltrés. Eviter de récupérer son seul héritier trop défiguré. Ils arrivent dans une pièce vide, où un prêtre vient recueillir quelques dernières volontés et supporter la famille. Sa mère et ses soeurs ne sont pas là, mais il a pu enlacer ces dernières une ultime fois. Le prêtre se tourne vers le paternel :

- « Je suis certain que Dieu lui pardonnera son geste Monseigneur. »

- « Dieu n'a rien à lui pardonner. Je sais mon fils innocent. Parce qu'il n'en aurait jamais été capable. »

Le ton est froid. Dur. Coupant. Quasi tout autant que la porte de métal qui se ferme derrière lui alors qu'il quitte la pièce sans daigner regarder son fils. Ce dernier n'obéit pas à l'injonction de continuer d’avancer des gardes. Il se débat. Hurle. Pourquoi lui. Le voilà assommé, c'est plus facile de le transporter ainsi.

**

Le sol est froid, n'apaisant pas les maux de tête dus à la dose d’anesthésiant, telle une mauvaise gueule de bois. Sauf qu'ici, il sait qu'il ne s'est pas amusé avec ses camarades durant la nuit. Seules les paroles de son père raisonnent dans sa tête, tel un mauvais écho.

Aime :

- Sa petite soeur ;

- La musique (jouer comme écouter) ;

- Les défis ;

- Se rentre utile/important ;

- Son Royaume ;

- La fidélité/loyauté ;

- S'amuser ;

- Le contact physique simple ;

- La bière du pays ;

- Le printemps ;

- Le rouge ;

- Le combat à mains nues et à lame ;

- Découvrir ;

- L'attention des autres ;

- Les balades équestres ;

- Le carnaval de sa région ;

- Les fraises des bois ;

- Le thé.

N’aime pas :

- Être comparé à son père ;

- Le sang ;

- Le mensonge ;

- La mauvaise foi ;

- Forcer physiquement quelqu'un au risque de blesser ou autre ;

- Être impuissant face à quelque chose ;

- Les instruments mal accordés ;

- Le rose criard ;

- Les mauvaises bières comparables à de l'eau ;

- Paraître faible/Faire mauvaise impression ;

- L'infidélité ;

- La douleur ;

- Les poivrons ;

- Le café.

Traits physiques particuliers:

- Ses yeux sont brun foncé tirant sur le rouge.

- Il a plusieurs cicatrices dans le dos, nettes et constantes. Seules 7 sont fort visibles.

- Une bague large et plate en acier inoxydable avec le centre gravé et peint en rouge. La bague est couverte d'accros sur les bords et griffée à l’intérieur.

- A un anneau à dent d'acier sur la base de son outil génital.

- Marque au fer rouge d'un « V » sur sa chute de reins recouvert d'un tatouage : Un « V » de calligraphie gothique avec un lion rouge coiffé d'une couronne et une flamme sur une des branches du « V ».

FICHE COMPLEMENTAIRE : sta.sh/01c9loalss8t

Relations :

Toutes les informations citées ci dessus ne sont pas connues de personne ne l'ayant jamais connu ou cherché à le connaitre.

Par contre, sa famille ayant un pied dans le « noir », il est tout à fait possible d'avoir déjà entendu parler du « Lion Rouge », mais sans plus.

Pour ceux du même pays ayant travaillé dans les mêmes affaires, c'est votre choix : ou votre personnage connait cette « société » uniquement de nom, ou il/elle a déjà travaillé avec cette « Société ». Si il/elle a déjà travaillé pour ou a des informations plus approfondies, les voici :

Le « Lion Rouge » existe depuis 1929. Son créateur et propriétaire se fait appeler Leo. C'est un homme froid mais digne de confiance. La parole est quelque chose de très important chez le « Lion Rouge ». Si on ne tient pas ladite parole, la mort peut vous attendre au tournant et ne rate jamais sa cible.

Cette jeune « entreprise » est efficace et extrêmement discrète. Pourtant, son nom fut quelque peu « tâché » par l'image du fils. Tout le monde le voyait comme un couard, inutile et uniquement beau parleur. Jusqu'à ce qu'un jour, deux hommes de main d'une autre société vinrent s'en prendre à lui, pour d'une certaine façon s'attaquer à la société du père. Quelques baffes pour faire passer un message au père en marquant le fils.

Depuis, l'image du fils couard a disparu. Au contraire. Il était vivement conseillé de ne pas se mettre en travers de son chemin au risque d'être défiguré.

____________________

Musiques :

Nightcore - Marionette (Male Version) - www.youtube.com/watch?v=rGOwgH…

Nickelback – Animals - www.youtube.com/watch?v=6GBw28…

Seiyuu :

www.youtube.com/watch?v=e1oVU5…

Voix de Pierre Tessier fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_T…

Manière de rp:

- Skype : me contacter par note pour l'échange d'information ;

- Chatbox ;

- Note DA.

ATTENTION

Il se peut que lors de RP, mon personnage lâche quelques termes ou se mette à parler quelque peu le patois de sa région. Ce n'est pas du langage « sms » et je fais de mon mieux pour être juste dans l'orthographe des termes. Mais ces derniers sont avant tout phonétiques. Donc, pour tenter de le comprendre, concentrez vous sur la phonétique.

/!\ /!\ /!\

Bien que basé sur un fond historique et des lieux réels, Marshall est totalement fictif. Toute ressemblance avec une personne ayant existé est totalement fortuite.

/!\ /!\ /!\

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Ho-mon-Dieu-Ho-mon-Dieu-Ho-mon-Dieu !
C'est la toute toute première fois que je fais une telle fiche pour ainsi rejoindre un groupe de RP sur DeviantArt. J'ai encore jamais jamais fait ça. Alors le stress, il est là.

Après plus de vingt heures d'boulot, j'ai arrêté de compter. J'ai même pas fini : la fiche complémentaire est incomplète. J'ai perdu une tonne de temps à reprendre en main Photoshop et la mise en volume. Et à faire trop de détails aussi. De plus, ce que vous voyez ici n'est que la partie émergée de l'iceberg. J'ai sur mon bureau tout un dossier remplit par mes soins sur une tonne de références des années 1950 à 1960 sur la musique, arts, et autre. Et j'ai pas fini. *zbarf*

J'espère que la fiche et le personnage vous plaira, parce que moi, ça m'plait. Le prochain perso' sera physiquement détruit. J'aime pas être trop idéaliste. Mais avec ce personnage, je pouvais pas le "détruire". Pour le début du moins ! Parce que oui, c'est le même Marshall. Plus ou moins. Moi je l'appel le Marshall numéro 3.

Ha ! Je stress je stress ! Mais je suis à l'heure !

Fini le 17 janvier 2015.
Outil : Photoshop CS6.
_____

Hell yeah ! I've finished it ! I made it ! *A* Sooo stressed to post it ...!

So it's the character sheet of Marshall de Villers. Yeah, it's the same Marshall. Just in a new univers. The physique is the same, just the bandages not there !
Sorry that I don't translate every thing but ... It's juste too much. Google is your friend ! *ZBARF*

Hope you'll like it too ! ~

Finished the 17 january 2015.
Tool : Photoshop CS6.